FacebookTwitter
Ce sont des blessures invisibles provoquées par les violences qui ont poussé à fuir, par la longue route vers un avenir qu'on espère meilleur et par la froide machine administrative. Ce sont celles qu'on néglige, trop occupé à survivre. Ce sont celles, aussi, qui peinent à cicatriser. Les troubles psychiques toucheraient deux fois plus les exilés que le reste de la population. Avec des conséquences parfois dramatiques.